Vous cherchez des moyens d’apporter plus de rire dans votre vie ? Commencez par les principes de base suivants :

Riez de vous-même. Partagez vos moments embarrassants. La meilleure façon de se prendre moins au sérieux est de parler des moments où nous nous sommes pris trop au sérieux.

Lorsque vous entendez un rire, allez vers lui. La plupart du temps, les gens sont très heureux de partager quelque chose de drôle car cela leur donne l’occasion de rire à nouveau et de se nourrir de l’humour que vous y trouvez. Lorsque vous entendez des rires, cherchez-les et essayez d’y participer.

Passez du temps avec des personnes amusantes et enjouées. Ce sont des personnes qui rient facilement d’elles-mêmes et des absurdités de la vie – et qui trouvent régulièrement de l’humour dans les événements quotidiens. Leur point de vue ludique et leur rire sont contagieux.

Entourez-vous de rappels pour vous détendre. Gardez un jouet sur votre bureau ou dans votre voiture. Affichez un poster amusant dans votre bureau. Choisissez un économiseur d’écran d’ordinateur qui vous fait rire. Encadrez des photos de vous et de vos proches en train de vous amuser.

Prêtez attention aux enfants et imitez-les. Ils sont les experts du jeu, de la légèreté et du rire.

Conseil n° 7 : adoptez un régime alimentaire qui stimule le cerveau

Tout comme le corps a besoin de carburant, le cerveau en a besoin aussi. Vous savez probablement déjà qu’un régime à base de fruits, de légumes, de céréales complètes, de graisses « saines » (comme l’huile d’olive, les noix, le poisson) et de protéines maigres présente de nombreux avantages pour la santé, mais un tel régime peut également améliorer la mémoire. Pour la santé du cerveau, il ne s’agit pas seulement de ce que vous mangez, mais aussi de ce que vous ne mangez pas.

Les conseils nutritionnels suivants vous aideront à stimuler vos capacités cérébrales et à réduire votre risque de démence :

Consommez des oméga-3. Les recherches montrent que les acides gras oméga-3 sont particulièrement bénéfiques pour la santé du cerveau. Le poisson est une source particulièrement riche en oméga-3, notamment les « poissons gras » d’eau froide comme le saumon, le thon, le flétan, la truite, le maquereau, les sardines et le hareng.

Si vous n’êtes pas fan de fruits de mer, envisagez des sources d’oméga-3 autres que le poisson, comme les algues, les noix, les graines de lin moulues, l’huile de lin, la courge d’hiver, les haricots rouges et pinto, les épinards, le brocoli, les graines de citrouille et le soja.

Limitez les calories et les graisses saturées. Les recherches montrent que les régimes riches en graisses saturées (provenant de sources telles que la viande rouge, le lait entier, le beurre, le fromage, la crème et la crème glacée) augmentent le risque de démence et altèrent la concentration et la mémoire.

Mangez plus de fruits et de légumes. Les fruits et légumes regorgent d’antioxydants, des substances qui protègent les cellules de votre cerveau contre les dommages. Les fruits et légumes colorés sont des sources particulièrement bonnes de « super aliments » antioxydants.

Buvez du thé vert. Le thé vert contient des polyphénols, de puissants antioxydants qui protègent contre les radicaux libres susceptibles d’endommager les cellules du cerveau. Parmi de nombreux autres avantages, la consommation régulière de thé vert peut améliorer la mémoire et la vivacité d’esprit et ralentir le vieillissement du cerveau.

Buvez du vin (ou du jus de raisin) avec modération. Il est essentiel de contrôler votre consommation d’alcool, car l’alcool tue les cellules du cerveau. Mais avec modération (environ un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes), l’alcool peut réellement améliorer la mémoire et la cognition. Le vin rouge semble être la meilleure option, car il est riche en resvératrol, un flavonoïde qui stimule la circulation sanguine dans le cerveau et réduit le risque de maladie d’Alzheimer. Parmi les autres options riches en resvératrol, citons le jus de raisin, le jus de canneberge, les raisins et les baies frais et les cacahuètes.

Conseil n° 8 : identifiez et traitez les problèmes de santé

Avez-vous l’impression que votre mémoire a connu une baisse inexplicable ? Si c’est le cas, c’est peut-être dû à un problème de santé ou de mode de vie.

La démence ou la maladie d’Alzheimer ne sont pas les seules causes de perte de mémoire. Il existe de nombreuses maladies, de nombreux troubles mentaux et de nombreux médicaments qui peuvent interférer avec la mémoire :

Les maladies cardiaques et leurs facteurs de risque. Les maladies cardiovasculaires et leurs facteurs de risque, notamment l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle, ont été associés à une déficience cognitive légère.

Le diabète. Des études montrent que les personnes atteintes de diabète connaissent un déclin cognitif bien plus important que celles qui ne souffrent pas de cette maladie.

Déséquilibre hormonal. Les femmes en période de ménopause connaissent souvent des problèmes de mémoire lorsque leur taux d’œstrogène diminue. Chez les hommes, une baisse de testostérone peut causer des problèmes. Les déséquilibres de la thyroïde peuvent également être à l’origine de pertes de mémoire, de lenteur d’esprit ou de confusion.